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Publié par fxg

Sur la photo, l'expert indépendant Victor Madrigal-Borloz est au centre ; à sa droite, Céline Faure, Moïse Manoel et Steven Kuzan ; à sa gauche, Pedro Paradiso Solitle, Président d'ILGALAC, Alice Ochsenbein, adjointe de l'expert indépendant et Thibault Boucher (ex-membre du cabinet d'Ericka Bareigts à l'Outre-mer).

Sur la photo, l'expert indépendant Victor Madrigal-Borloz est au centre ; à sa droite, Céline Faure, Moïse Manoel et Steven Kuzan ; à sa gauche, Pedro Paradiso Solitle, Président d'ILGALAC, Alice Ochsenbein, adjointe de l'expert indépendant et Thibault Boucher (ex-membre du cabinet d'Ericka Bareigts à l'Outre-mer).

Les LGBT d'Outre-mer proches de l'ILGALAC

Steven Kuzan (délégué territorial du Refuge Guyane), Celine Faure (présidente de Kap Caraïbe, Martinique), Moise Manoel (doctorant à l’université des Antilles et militant au sein de Gay Attitude en Guyane) ont participé le 20 novembre dernier à Bogota (Colombie) à la conférence régionale Amérique latine/Caraïbe de lutte contre l'homophobie et la transphobie. C'est la première fois que des Ultramarins sont invités par l'Association Internationale des Gays, Lesbiennes, Bi et Trans en Amérique Latine et Caraïbe (ILGALAC). Les trois militants ont notamment rencontré Victor Madrigal-Borloz, l'expert indépendant de l'ONU sur l'Orientation sexuelle et l'identité de genre qui est le plus haut fonctionnaire international en charge des questions LGBTI. L’objectif de cette réunion était d'établir des liens avec les Outre-Mer français car l’Ilgalac n’en disposait pas jusque-là. "Il y a beaucoup d’enjeux communs comme la lutte contre l’homophobie et la transphobie dans l’espace caribéen, explique Thibault Boucher, membre de la délégation française, la lutte contre le VIH, les réfugiés haïtiens qui fuient l’homophobie en Haïti et viennent en Guyane..." 

Il s'agit encore de permettre aux Ultramarins de rencontrer l’expert indépendant de l’ONU et qu’il leur présente ses actions et ses moyens de les aider (les militants peuvent transmettre des éléments sur leurs territoires pour qu’ils soient intégrés aux rapports thématiques ou même dénoncer des violations de droits fondamentaux par l’Etat).

A terme, il s'agirait de pouvoir organiser une session francophone Outre-mer/Haïti de cette conférence, voire envisager des coopérations entre militants ultramarins et haïtiens pour venir en aide aux victimes de l'homophobie.

FXG, à Paris 

 

 

 

 

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