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Publié par fxg

Le Jackson tourJT2-7.jpg

Avec le Jackson tour, RFO et Jackson Richardson proposent à partir de dimanche 21 février sur France Ô (et le 14 mars sur les télépays) « une autre manière de parler de la France, de parler de nous et de notre vivre ensemble ». La formule est du directeur délégué de France Ô, Wallès Kotra, mais elle est mise en image par le producteur Bruno Bravo et son réalisateur Clément Brin. Les deux hommes ont eu l’occasion de faire connaissance avec Jackson parce qu’ils réalisaient un documentaire sur la fin de carrière de ce grand Barjot, double champion du monde de handball. « Nous avons voulu faire un programme vrai avec de vraies personnes et de la diversité positive », avance le producteur qui participe directement à l’image à l’émission avec Jackson. Le Jackson tour, c’est une galerie de portrait de gens dans différentes régions françaises. L’équipe passe 48 heures sur place, se met en immersion et essaie de capter le fruit de la rencontre entre ceux d’un terroir et Jackson. « Je mets en scène l’imprévu », raconte Clément. «Copie-de-IMG_7710.jpg Sa popularité donne envie aux gens d’aller vers lui », témoigne Bruno. « Je ne suis pas journaliste, explique Jackson. Je ne pose pas de questions, c’est un échange, plus à la rigolade, pour le piment ! » En général, il ne sait pas où Bruno et Clément vont l’emmener. « Comme dans le Vercors où j’ai découvert le 100 mètres neige libre ! » 22 épisodes sont programmés d’ici fin juillet. 8 sont déjà en boîtes. Ils ont été tournés dans le Val de Marne avec Mamedy Doucara, dans le parc du Morvan avec un maire d’une petite commune de la Nièvre, en Isère chez un éleveur et compétiteur de chiens de traineaux, à l’île de Sein avec le dernier gardien de phare… Jackson veut tourner à la caserne de pompiers de Saint-Pierre à la Réunion, là où son père a travaillé et où il a vécu enfant. Il veut aller aux Antilles aussi et en Nouvelle-Calédonie. JT2-8.jpgA Guérande, un marin lui a dit : « On t’a déjà dit que tu ressembles à Jackson Richardson ? » « Ah non… » Et quand on dit au marin que c’est bien Richardson. Il se contente de reprendre : « Ben, qu’est-ce que tu fous là ? » « Malheureusement, pour cette séquence-là, ils n’étaient pas prêts à tourner », se moque gentiment l’ancien sportif. Jackson met sa popularité au service de sa nouvelle mission : donner une valeur à toutes ces rencontres.

FXG (Agence de presse GHM)

Hebdomadaire le dimanche à 20 h 05 sur France Ô, rediffusion le jeudi à 17 h 15


Richardson-portrait--fxg-.jpgITW Jackson Richardson

« Notre but, c’est la découverte ! »

Comment est née l’idée de la série ?

Lorsque Bruno et Clément ont tourné leur documentaire sur la fin de ma carrière sportive, ils ont compris ma simplicité pour aller au contact des gens et c’est là que Bruno m’a demandé si ça me plairait de travailler avec France Ô pour aller à la rencontre de la terre et des gens et faire la promotion des régions et des personnages qui méritent d’être mis en valeur.

Quand les gens vous voient arriver, ils se demandent qui est ce Barjot ?

Les gens sont un peu surpris au début… « Il y a un black, avec des locks… Qu’est-ce qu’il vient  faire ici ? » Mais très vite, après avoir échangé, ils comprennent que ma notoriété ou l’image que je peux représenter tombe et que c’est le cœur qui parle.

Le concept de l’émission n’est-il pas de croiser deux notoriétés, la vôtre et celle d’une région ?

On est là pour voir la réalité des choses, de l’endroit, sa richesse culturelle… Ma notoriété doit servir de passerelle pour mettre en avant des gens qui restent un peu à l’écart. Leur expérience et leur valeur sont ce que j’ai envie de retransmettre.

J-richardson.jpgLe réalisateur dit qu’il met en scène l’imprévu… Or, en fait il n’y a pas de mise en scène, vous cherchez à capter le réel…

Si on fait une mise en scène, ce ne sera pas vrai, ce ne sera pas moi. Je veux improviser dans les rencontres et l’échange, c’est ça qui est vrai.

Quel a été le premier tournage ?

C’était le n°0. On est allé voir les basketteurs handisport à Meaux et j’y ai pris un malin plaisir. Je me suis retrouvé dans un fauteuil à faire du basket. Parce que dans cette émission, tout ce que les gens font comme activité, ben… Je le fais !

Quand les choses vont très vite et que l’équipe n’est pas là pour enregistrer, c’est foutu ?

Si les gens veulent le refaire, on refait mais c’est vrai que refaire, ce n’est pas vrai ; on sent que c’est préparé. Alors, en général, on anticipe les choses et on part du principe qu’il y aura toujours mieux après ! Notre but, c’est la découverte !JT2-4.jpg

Photos de tournage : Raphaël Devynck / France Télévisions

 

 

 

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