Vibrations Caraïbes
Trois questions à Coline Toumson, organisatrice du festival Vibrations Caraïbes à Paris
« Jazz, musiques urbaines et création contemporaine sont la patte de Vibrations Caraïbes »
Cette édition de Vibrations Caraïbes est terminée. Attribuez-vous son succès à la couleur jazz que vous lui avez donnée ?
Le jazz a beaucoup compté pour nos partenaires et les médias. Que ce soient Télérama, RFI, Nova, TSF, Libé, Le Monde, Le nouvel Obs, l’AFP, ils ont retrouvé avec intérêt et curiosité le concept d’une exploration du genre jazz caribéen. Il a été présent dans toutes ses déclinaisons, le gwo ka jazz, la biguine jazz, l’afro-pop, le jazz funk… Les artistes de vibrations caraïbes jouissent d’une notoriété et d’une réelle affection du public et des spécialistes du genre. Le jazz caribéen s’érige en genre universel à part entière avec des maîtres comme Jacques Schwartz-Bart, Mario Canonge, Alain Jean-Marie, Roland Brival…
Quel bilan tirez-vous de cette édition ?
L’opération s’est très bien déroulée. On a été largement félicités pour l’accueil, le professionnalisme, les choix artistiques, notre programmation. Rares sont les spectateurs qui ne sont pas revenus… Christiane Taubira est venue écouter Joby Barnabé, Mario Canonge et Jacques Schwarz-Bart, Alfred Almont et Harry Roselmack aussi étaient là. Firmine Richard, venue le soir de la dernière, a regretté de ne pas en avoir vu plus ! On a réussi à créer une plateforme de rencontre élargie. On est sorti des circuits confidentiels !
A quoi ressemblera la prochaine édition ?
Toujours une programmation que je souhaite novatrice, originale, riche en surprises et avec pour objectif une exigence et une cohérence artistique et esthétique. Ce sera encore ce lieu de rencontre et d’échanges névralgique des arts contemporains de la Caraïbe. Le thème flirtera encore avec le jazz, les musiques urbaines et la création contemporaine. C’est ça la patte de Vibrations Caraïbes.
« On est sorti des circuits confidentiels ! »
« Jazz, musiques urbaines et création contemporaine sont la patte de Vibrations Caraïbes »
Cette édition de Vibrations Caraïbes est terminée. Attribuez-vous son succès à la couleur jazz que vous lui avez donnée ?
Le jazz a beaucoup compté pour nos partenaires et les médias. Que ce soient Télérama, RFI, Nova, TSF, Libé, Le Monde, Le nouvel Obs, l’AFP, ils ont retrouvé avec intérêt et curiosité le concept d’une exploration du genre jazz caribéen. Il a été présent dans toutes ses déclinaisons, le gwo ka jazz, la biguine jazz, l’afro-pop, le jazz funk… Les artistes de vibrations caraïbes jouissent d’une notoriété et d’une réelle affection du public et des spécialistes du genre. Le jazz caribéen s’érige en genre universel à part entière avec des maîtres comme Jacques Schwartz-Bart, Mario Canonge, Alain Jean-Marie, Roland Brival…
Quel bilan tirez-vous de cette édition ?
L’opération s’est très bien déroulée. On a été largement félicités pour l’accueil, le professionnalisme, les choix artistiques, notre programmation. Rares sont les spectateurs qui ne sont pas revenus… Christiane Taubira est venue écouter Joby Barnabé, Mario Canonge et Jacques Schwarz-Bart, Alfred Almont et Harry Roselmack aussi étaient là. Firmine Richard, venue le soir de la dernière, a regretté de ne pas en avoir vu plus ! On a réussi à créer une plateforme de rencontre élargie. On est sorti des circuits confidentiels !
A quoi ressemblera la prochaine édition ?
Toujours une programmation que je souhaite novatrice, originale, riche en surprises et avec pour objectif une exigence et une cohérence artistique et esthétique. Ce sera encore ce lieu de rencontre et d’échanges névralgique des arts contemporains de la Caraïbe. Le thème flirtera encore avec le jazz, les musiques urbaines et la création contemporaine. C’est ça la patte de Vibrations Caraïbes.
« On est sorti des circuits confidentiels ! »