Grenelle environnement outre-mer
Jean-Louis Borloo et Christian Estrosi installent le comité opérationnel Outre-mer
Hier matin, Jean-Louis Borloo, ministre de l’Ecologie, du Développement et de l’Aménagement durables, et Christian Estrosi, secrétaire d’Etat chargé de l’Outre-mer, ont installé le comité opérationnel Outre-mer du Grenelle Environnement. Sa présidence revient à Nassimah Dindar, présidente du Conseil général de La Réunion.
26 membres dont 7 élus des départements et collectivités d’outre-mer, composent ce comité issu des travaux du grenelle de l’environnement.
Les ministres ont insisté sur l’apport, pour la métropole, du savoir-faire de l’Outre-mer notamment dans le domaine des énergies renouvelables et de l’opportunité unique de développer une nouvelle économie ultramarine en devenant une vitrine technologique française exportable dans des dizaines d’Etats du monde. « Avec un patrimoine naturel exceptionnel et un potentiel de développement important, l’Outre-Mer doit être un espace d’exemplarité pour le développement durable, comme s’y est engagé le Grenelle Environnement » a précisé Jean-Louis Borloo. «L’Outre-Mer, cette France des trois océans, représente une part prépondérante de la biodiversité française, 10 % des récifs mondiaux, 14 des 17 éco-régions françaises et l’un des 15 derniers grands massifs de forêt tropicale non encore fragmenté par les activités humaines» a rappelé Christian Estrosi. La présidence du comité à Mme Dindar s’explique par la mise en place d’un premier projet Réunion 2030 qui vise à remplacer l’ensemble des énergies fossiles par des énergies renouvelables. Les premiers textes législatifs doivent être prêts, selon Mme Dindar, pour le 15 mars prochain.
Hier matin, Jean-Louis Borloo, ministre de l’Ecologie, du Développement et de l’Aménagement durables, et Christian Estrosi, secrétaire d’Etat chargé de l’Outre-mer, ont installé le comité opérationnel Outre-mer du Grenelle Environnement. Sa présidence revient à Nassimah Dindar, présidente du Conseil général de La Réunion.
26 membres dont 7 élus des départements et collectivités d’outre-mer, composent ce comité issu des travaux du grenelle de l’environnement.
Les ministres ont insisté sur l’apport, pour la métropole, du savoir-faire de l’Outre-mer notamment dans le domaine des énergies renouvelables et de l’opportunité unique de développer une nouvelle économie ultramarine en devenant une vitrine technologique française exportable dans des dizaines d’Etats du monde. « Avec un patrimoine naturel exceptionnel et un potentiel de développement important, l’Outre-Mer doit être un espace d’exemplarité pour le développement durable, comme s’y est engagé le Grenelle Environnement » a précisé Jean-Louis Borloo. «L’Outre-Mer, cette France des trois océans, représente une part prépondérante de la biodiversité française, 10 % des récifs mondiaux, 14 des 17 éco-régions françaises et l’un des 15 derniers grands massifs de forêt tropicale non encore fragmenté par les activités humaines» a rappelé Christian Estrosi. La présidence du comité à Mme Dindar s’explique par la mise en place d’un premier projet Réunion 2030 qui vise à remplacer l’ensemble des énergies fossiles par des énergies renouvelables. Les premiers textes législatifs doivent être prêts, selon Mme Dindar, pour le 15 mars prochain.