Université de Guyane
Le pôle universitaire de Guyane vend ses nouvelles formation à Paris
C’est l’histoire d’un campus qui revendique ses 2500 étudiants, ses nouveaux locaux et ses nouvelles formations et qui a donc envoyé le directeur de son IESG, Olivier Huisman, et sa directrice du service d’information et d’orientation, Sandrine Adonis, au salon de l’étudiant qui se tenait à la porte de Versailles à Paris, ce week-end. Parmi les centaines d’écoles ou universités représentées, le Pôle universitaire de Guyane s’est affiché au cœur du quartier des facs du salon. « Beaucoup de personnes à Paris ne savent pas que nous avons étoffé la carte des formations en Guyane, avance M. Huisman. Cette année, nous avons ouvert la musicologie, un mastère de développement durable et environnement et un autre de portugais. » L’IUFM attire-t-elle les métropolitains ? « Oui, concède-t-il, certains posent des questions, mais ce n’est pas la cible, nous voulons des Guyanais qui vont s’investir dans une carrière en Guyane. Nous cherchons à vendre la spécificité de la Guyane et expliquer aux Guyanais de région parisienne qu’il y a des formations chez eux. » Sandrine Adonis a observé que sur la cinquantaine de personnes qui passent au stand par curiosité, une vingtaine se montre réellement intéressée. Pas mal d4antillais viennent aussi nous voir. Notre présence interpelle ! » Le PUG et son nouveau campus espèrent encore élargir leur offre et les partenariats passés avec la Sorbonne et les universités de Grenoble et Montpellier.
C’est l’histoire d’un campus qui revendique ses 2500 étudiants, ses nouveaux locaux et ses nouvelles formations et qui a donc envoyé le directeur de son IESG, Olivier Huisman, et sa directrice du service d’information et d’orientation, Sandrine Adonis, au salon de l’étudiant qui se tenait à la porte de Versailles à Paris, ce week-end. Parmi les centaines d’écoles ou universités représentées, le Pôle universitaire de Guyane s’est affiché au cœur du quartier des facs du salon. « Beaucoup de personnes à Paris ne savent pas que nous avons étoffé la carte des formations en Guyane, avance M. Huisman. Cette année, nous avons ouvert la musicologie, un mastère de développement durable et environnement et un autre de portugais. » L’IUFM attire-t-elle les métropolitains ? « Oui, concède-t-il, certains posent des questions, mais ce n’est pas la cible, nous voulons des Guyanais qui vont s’investir dans une carrière en Guyane. Nous cherchons à vendre la spécificité de la Guyane et expliquer aux Guyanais de région parisienne qu’il y a des formations chez eux. » Sandrine Adonis a observé que sur la cinquantaine de personnes qui passent au stand par curiosité, une vingtaine se montre réellement intéressée. Pas mal d4antillais viennent aussi nous voir. Notre présence interpelle ! » Le PUG et son nouveau campus espèrent encore élargir leur offre et les partenariats passés avec la Sorbonne et les universités de Grenoble et Montpellier.