Jego et la LOPOM
Loi de programme pour l'Outre-mer : Yves Jego assure que rien n’est figé
Un représentant de monde des affaires antillais à Paris faisait ce commentaire en apprenant la nomination d’Yves Jégo rue Oudinot : « Qu’il ne touche pas à ce qui fonctionne. » Le nouveau ministre semble avoir compris que les actuelles dispositions du projet de loi provoquent un véritable tollé dans le monde économique domien. « Cet avant-projet n’est pas un texte figé », a déclaré le ministre, disposé à l’écoute et au dialogue. « Je serai très attentif aux préoccupations et suggestions formulées par les socio-professionnels. » Il se rendra d’ailleurs, en compagnie de Michèle Alliot-Marie, au Conseil économique et social le 25 mars, jour où cette assemblée rendra son avis sur le projet. Le ministre a indiqué qu’il rencontrerait rapidement tous les parlementaires concernés et les présidents des exécutifs pour que « la concertation soit réelle et sérieuse ». Le ministre semble avoir pris la mesure des inquiétudes que certains n’hésitent pas à chiffre à 150 millions d’euros de perte par an.
Un représentant de monde des affaires antillais à Paris faisait ce commentaire en apprenant la nomination d’Yves Jégo rue Oudinot : « Qu’il ne touche pas à ce qui fonctionne. » Le nouveau ministre semble avoir compris que les actuelles dispositions du projet de loi provoquent un véritable tollé dans le monde économique domien. « Cet avant-projet n’est pas un texte figé », a déclaré le ministre, disposé à l’écoute et au dialogue. « Je serai très attentif aux préoccupations et suggestions formulées par les socio-professionnels. » Il se rendra d’ailleurs, en compagnie de Michèle Alliot-Marie, au Conseil économique et social le 25 mars, jour où cette assemblée rendra son avis sur le projet. Le ministre a indiqué qu’il rencontrerait rapidement tous les parlementaires concernés et les présidents des exécutifs pour que « la concertation soit réelle et sérieuse ». Le ministre semble avoir pris la mesure des inquiétudes que certains n’hésitent pas à chiffre à 150 millions d’euros de perte par an.