Transat de galérien
Rames Guyane change de nom pour l’édition 2009
« L’aviron océanique est une chose nouvelle même s’il existe un championnat de France d’aviron de mer. Notre fédération soutient se magnifique projet et s’associe à cette 2e édition de Bouvet Rames Guyane 2009. »
Chantal Berthelot, députée et conseillère régionale
« Avec Bouvet Rames Guyane, nous montrons une autre facette de la Guyane, une autre image. Nous avons les tirs d’Ariane, la forêt mais aussi une grande façade maritime qu’il faut aussi mettre en avant ! La présence de sept Guyanais va contribuer à populariser la course. Parmi eux, je connais bien Henri-Georges Hidair avec qui j’ai participé à une compétition de voile UFEP à Marseille en 1996. »
Antoine Croyère, organisateur
« Avec Henri-Georges Hidair, ça va tourner la tête des Guyanais vers la mer ! »
Après une première édition 2006 encore expérimentale, les organisateurs de cette transat en solitaire et à la rame, promettent une édition 2009 plus étoffée, parrainée par Bernard Lama.Les skippers inscrits (tous sauf les Guyanais) et devant eux Michel Horeau et Antoine Croyère, lors de la conférence de presse de présentation, le 26 mars à Paris.
Ils étaient quinze pour la première et parmi eux trois Guyanais. Cette fois, pour la course qui prendra le départ le 8 mars 2009, beaucoup de choses changent ! D’abord, le nom de la transat. De Rames Guyane, elle devient Bouvet Rames Guyane. Patrick Bouvet, patron de Bouvet SA, une menuiserie spécialisée dans le PVC sans plomb du Maine-et-Loire, a décidé de devenir le sponsor principal de la course. Mieux, elle équipe et soutient un de ses salariés qui la représentera en course et en mer. « Il aura la pression des 700 salariés de Bouvet SA ! » Ensuite, la flotte fait un bond en nombre de participants avec l’inscription pour l’heure de 25 skippers. Il y a les récidivistes, au nombre de cinq (dont Jean-Jacques Gauthier, arrêté par la barre après Saint-Louis), Philippe Malapert et Didier Lemoine (il avait traversé sans safran, il repart et embarque dans sa suite sa fille Patricia), les nouveaux et les Guyanais. On retrouvera sur la ligne Jean-Pierre Lacroix (qui n’était pas arrivé) et Patrick Deixonne (roulé dès le départ par la barre océane au large de Saint-Louis du Sénégal — 7 tonneaux ! ). Ils ont tous deux une revanche à prendre. Parmi les nouveaux Guyanais sur la ligne de départ, il faudra compter avec Charles Bergère, le benjamin des skippers, éleveur de zébus à Sinnamary, Henri-Georges Hidair, le seul guyanais natif-natal de la course, Pascal Vaudé, chef d’entreprise à Cayenne qui était venu remorquer Patrick Favre (2e au classement en 2006), Karl Barranco de Remire-Montjoly (qui part pour l’aventure) et Patrick Hoyeaux, responsable technique à la base spatiale de Kourou et président du club de voile local.
750 000 euros pour la communication
Parrainée par Bernard Lama, la course est bien sûre soutenue par toute une série de partenaires institutionnels et privés au premier rang desquels, la Région Guyane, la ville de Cayenne (où sera déployée la ligne d’arrivée), le département de la Guyane, la CCI de Guyane, le comité du tourisme et encore la ville de Saint-Laurent-du-Maroni (où aura lieu la remise des prix), mais aussi la ville de Saint-Martin-de-Ré où se tiendra le prologue. Le Centre national d’études spatiales et sa filiale Collecte localisation satellites (représenté par Pierre Zamit) s’investiront encore une fois pour porter la notoriété de la Guyane. « Nous mettons nos moyens au service de la course, particulièrement, les balises Argos et les valises de télé-médecine. » L’organisation, Michel Horeau et Antoine Croyère, a décidé d’affecter la moitié du budget général à la communication, soit 750 000 euros !
Dans l’assistance, venus assister à la présentation des skippers et de la course version 2009, les membres de l’Union des Guyanais et des amis de la Guyane, Marie-Flore Maleau, Henriette Séléloué-Dorion, la présidente, Marie-Thérèse Hubert-Selbone et le conseiller de l’ambassade du Sénégal, Mamadou Abdoulaye Ba.
La course démarrera bien avant le départ officiel du 8 mars 2009 par un prologue à Saint-Martin-de-Ré, en octobre 2008. Entre Saint-Martin, Saint-Louis-du-Sénégal, la Guyane et la métropole, ce sera la compagnie maritime Marfret qui assurera le transport des canots. Le ministère du Tourisme au Sénégal et le secrétariat d’Etat à l’Outre-mer sont aussi partenaires. D’ailleurs, Mamadou Abdoulaye Ba, qui représentait l’ambassadeur du Sénégal a assuré que pour la 3e édition, il y aurait au moins un équipage sénégalais !
Le 8 mars 2009, les quelque 25 concurrents (la liste n’est pas close) prendront le départ à Saint-Louis pour affronter 2 600 milles (4 700 km) d’océan. Après 40 jours (pour les meilleurs) ou 60 (pour les plus lents), la flotte est attendue sur le plan d’eau de Cayenne en avril ou mai 2009.
Ils étaient quinze pour la première et parmi eux trois Guyanais. Cette fois, pour la course qui prendra le départ le 8 mars 2009, beaucoup de choses changent ! D’abord, le nom de la transat. De Rames Guyane, elle devient Bouvet Rames Guyane. Patrick Bouvet, patron de Bouvet SA, une menuiserie spécialisée dans le PVC sans plomb du Maine-et-Loire, a décidé de devenir le sponsor principal de la course. Mieux, elle équipe et soutient un de ses salariés qui la représentera en course et en mer. « Il aura la pression des 700 salariés de Bouvet SA ! » Ensuite, la flotte fait un bond en nombre de participants avec l’inscription pour l’heure de 25 skippers. Il y a les récidivistes, au nombre de cinq (dont Jean-Jacques Gauthier, arrêté par la barre après Saint-Louis), Philippe Malapert et Didier Lemoine (il avait traversé sans safran, il repart et embarque dans sa suite sa fille Patricia), les nouveaux et les Guyanais. On retrouvera sur la ligne Jean-Pierre Lacroix (qui n’était pas arrivé) et Patrick Deixonne (roulé dès le départ par la barre océane au large de Saint-Louis du Sénégal — 7 tonneaux ! ). Ils ont tous deux une revanche à prendre. Parmi les nouveaux Guyanais sur la ligne de départ, il faudra compter avec Charles Bergère, le benjamin des skippers, éleveur de zébus à Sinnamary, Henri-Georges Hidair, le seul guyanais natif-natal de la course, Pascal Vaudé, chef d’entreprise à Cayenne qui était venu remorquer Patrick Favre (2e au classement en 2006), Karl Barranco de Remire-Montjoly (qui part pour l’aventure) et Patrick Hoyeaux, responsable technique à la base spatiale de Kourou et président du club de voile local.
750 000 euros pour la communication
Parrainée par Bernard Lama, la course est bien sûre soutenue par toute une série de partenaires institutionnels et privés au premier rang desquels, la Région Guyane, la ville de Cayenne (où sera déployée la ligne d’arrivée), le département de la Guyane, la CCI de Guyane, le comité du tourisme et encore la ville de Saint-Laurent-du-Maroni (où aura lieu la remise des prix), mais aussi la ville de Saint-Martin-de-Ré où se tiendra le prologue. Le Centre national d’études spatiales et sa filiale Collecte localisation satellites (représenté par Pierre Zamit) s’investiront encore une fois pour porter la notoriété de la Guyane. « Nous mettons nos moyens au service de la course, particulièrement, les balises Argos et les valises de télé-médecine. » L’organisation, Michel Horeau et Antoine Croyère, a décidé d’affecter la moitié du budget général à la communication, soit 750 000 euros !
Dans l’assistance, venus assister à la présentation des skippers et de la course version 2009, les membres de l’Union des Guyanais et des amis de la Guyane, Marie-Flore Maleau, Henriette Séléloué-Dorion, la présidente, Marie-Thérèse Hubert-Selbone et le conseiller de l’ambassade du Sénégal, Mamadou Abdoulaye Ba.
La course démarrera bien avant le départ officiel du 8 mars 2009 par un prologue à Saint-Martin-de-Ré, en octobre 2008. Entre Saint-Martin, Saint-Louis-du-Sénégal, la Guyane et la métropole, ce sera la compagnie maritime Marfret qui assurera le transport des canots. Le ministère du Tourisme au Sénégal et le secrétariat d’Etat à l’Outre-mer sont aussi partenaires. D’ailleurs, Mamadou Abdoulaye Ba, qui représentait l’ambassadeur du Sénégal a assuré que pour la 3e édition, il y aurait au moins un équipage sénégalais !
Le 8 mars 2009, les quelque 25 concurrents (la liste n’est pas close) prendront le départ à Saint-Louis pour affronter 2 600 milles (4 700 km) d’océan. Après 40 jours (pour les meilleurs) ou 60 (pour les plus lents), la flotte est attendue sur le plan d’eau de Cayenne en avril ou mai 2009.
Ils ont dit
Jean-Jacques Mulot, président de la fédération française d’aviron« L’aviron océanique est une chose nouvelle même s’il existe un championnat de France d’aviron de mer. Notre fédération soutient se magnifique projet et s’associe à cette 2e édition de Bouvet Rames Guyane 2009. »
Chantal Berthelot, députée et conseillère régionale
« Avec Bouvet Rames Guyane, nous montrons une autre facette de la Guyane, une autre image. Nous avons les tirs d’Ariane, la forêt mais aussi une grande façade maritime qu’il faut aussi mettre en avant ! La présence de sept Guyanais va contribuer à populariser la course. Parmi eux, je connais bien Henri-Georges Hidair avec qui j’ai participé à une compétition de voile UFEP à Marseille en 1996. »
Antoine Croyère, organisateur
« Avec Henri-Georges Hidair, ça va tourner la tête des Guyanais vers la mer ! »