Gauche langouste
Taubira épinglée dans le Parisien pour son 80 m2 parisien à 986 euros
L’édition du 7 mai du Parisien consacre un dossier en page éco sur le logement social à Paris et la politique commerciale de l’OPAC. Premier bailleur de la capitale, l’OPAC est lié au Sénat et à l’Assemblée nationale par des conventions permettant de mettre à disposition de certains parlementaires des appartements loués entre 6,60 euros et 11,50 euros le mètre carré ! C’est à ce titre qu’en marge du papier, le Parisien a mis en exergue la députée de Guyane. Christiane Taubira habite le même ensemble immobilier (géré par l’OPAC) que Michèle Blumenthal, maire du 12e occupe à Paris et qui lui avait valu d’être montrée du doigt. Christiane Taubira, selon le Parisien, a obtenu ce quatre pièces de 80 m2 en 1998 à 12 euros le mètre carré, soit 986 par mois. « Deux fois moins que le prix du marché », constate le Parisien qui a interrogée la Guyanaise. Cet appartement lui a été « proposé par le service logement de l’Assemblée », « à un moment où j’en avais marre de faire et réfaire mes valises… » Et bien que bénéficiant de 11 000 euros mensuels, elle ne peut payer de surloyer car da ns ce type de logement intermédiaire, les surloyers n’existent pas. Mme Taubira est bien logée, à pas cher et ce n’est pas de son fait !
L’édition du 7 mai du Parisien consacre un dossier en page éco sur le logement social à Paris et la politique commerciale de l’OPAC. Premier bailleur de la capitale, l’OPAC est lié au Sénat et à l’Assemblée nationale par des conventions permettant de mettre à disposition de certains parlementaires des appartements loués entre 6,60 euros et 11,50 euros le mètre carré ! C’est à ce titre qu’en marge du papier, le Parisien a mis en exergue la députée de Guyane. Christiane Taubira habite le même ensemble immobilier (géré par l’OPAC) que Michèle Blumenthal, maire du 12e occupe à Paris et qui lui avait valu d’être montrée du doigt. Christiane Taubira, selon le Parisien, a obtenu ce quatre pièces de 80 m2 en 1998 à 12 euros le mètre carré, soit 986 par mois. « Deux fois moins que le prix du marché », constate le Parisien qui a interrogée la Guyanaise. Cet appartement lui a été « proposé par le service logement de l’Assemblée », « à un moment où j’en avais marre de faire et réfaire mes valises… » Et bien que bénéficiant de 11 000 euros mensuels, elle ne peut payer de surloyer car da ns ce type de logement intermédiaire, les surloyers n’existent pas. Mme Taubira est bien logée, à pas cher et ce n’est pas de son fait !