Rage en Guyane
Décès lié à un cas humain de rage en Guyane
L’Institut Pasteur de Paris a confirmé le décès du à la rage le 27 mai dernier d’un résident Guyanais hospitalisé au Centre hospitalier de Cayenne depuis le 19 mai. Les premiers symptômes sont survenus le 14 mai.
Le virus de la rage est présent en Guyane comme dans de nombreuses régions du monde. Les services sanitaires et vétérinaires enquêtent afin de déterminer la source de contamination qui peut être liée à un animal domestique ou à la faune sauvage (chauve souris). A ce jour, l’enquête réalisée a permis d’identifier un chat et un chien potentiellement contaminants, décédés respectivement en mars et en mai. La recherche d’autres animaux potentiellement contaminants est également en cours.
Aucun cas de transmission interhumaine de rage n’a été rapporté dans le monde à ce jour (à l’exception de très rares transmissions au cours de greffe).
En accord avec les recommandations du Conseil supérieur d’hygiène publique de France, les contacts proches vont rapidement bénéficier d’un traitement vaccinal préventif comme les professionnels de santé ayant été exposés lors des soins avec la personne décédée.
L’Institut Pasteur de Paris a confirmé le décès du à la rage le 27 mai dernier d’un résident Guyanais hospitalisé au Centre hospitalier de Cayenne depuis le 19 mai. Les premiers symptômes sont survenus le 14 mai.
Le virus de la rage est présent en Guyane comme dans de nombreuses régions du monde. Les services sanitaires et vétérinaires enquêtent afin de déterminer la source de contamination qui peut être liée à un animal domestique ou à la faune sauvage (chauve souris). A ce jour, l’enquête réalisée a permis d’identifier un chat et un chien potentiellement contaminants, décédés respectivement en mars et en mai. La recherche d’autres animaux potentiellement contaminants est également en cours.
Aucun cas de transmission interhumaine de rage n’a été rapporté dans le monde à ce jour (à l’exception de très rares transmissions au cours de greffe).
En accord avec les recommandations du Conseil supérieur d’hygiène publique de France, les contacts proches vont rapidement bénéficier d’un traitement vaccinal préventif comme les professionnels de santé ayant été exposés lors des soins avec la personne décédée.