/image%2F1477392%2F20170324%2Fob_fe6a9f_img-9858.JPG)
Rue Aimé Césaire
La première rue Aimé-Césaire en métropole a été baptisée le 26 juin
Enfin, Aimé Césaire vient d’entrer dans le quotidien de citoyens français à Givors, en région Rhône-Alpes. Quelques semaines après le décès du poète, une municipalité du département du Rhône, Givors, a décidé de consacrer, le 26 juin dernier, jour où aimé Césaire aurait eu 95 ans, une rue à son nom. Le conseil municipal a été unanime pour rendre hommage à ce grand personnage , "héros de l’égalité, du progrès, de la lutte anti-coloniale et de l’universalisme".
Le maire de Givors, Martial Passi, est membre du PCF et il a souhaité "rendre un hommage permanent à un camarade, à un communiste". Ainsi, il a, malgré lui, remis sur la place publique, la rupture du fondateur du Parti progressiste martiniquais avec le PCF, relançant du même coup un très beau texte politique qui trouve son égal dans le Discours sur le colonialisme, la Lettre à Thorez.
Quoiqu’il en soit, la commune de Givors devient la première ville à inscrire le nom du poto mitan dans la mémoire de la cité.
Gérard Théobald
Enfin, Aimé Césaire vient d’entrer dans le quotidien de citoyens français à Givors, en région Rhône-Alpes. Quelques semaines après le décès du poète, une municipalité du département du Rhône, Givors, a décidé de consacrer, le 26 juin dernier, jour où aimé Césaire aurait eu 95 ans, une rue à son nom. Le conseil municipal a été unanime pour rendre hommage à ce grand personnage , "héros de l’égalité, du progrès, de la lutte anti-coloniale et de l’universalisme".Le maire de Givors, Martial Passi, est membre du PCF et il a souhaité "rendre un hommage permanent à un camarade, à un communiste". Ainsi, il a, malgré lui, remis sur la place publique, la rupture du fondateur du Parti progressiste martiniquais avec le PCF, relançant du même coup un très beau texte politique qui trouve son égal dans le Discours sur le colonialisme, la Lettre à Thorez.
Quoiqu’il en soit, la commune de Givors devient la première ville à inscrire le nom du poto mitan dans la mémoire de la cité.
Gérard Théobald