La ville de Kourou envoie sa déléguée culturelle en mission à Avignon
Interview. Line Létard, déléguée à la culture du maire de Kourou en mission au festival d’Avignon
« Ce que je veux ramener, c’est la diversité »
Qu’êtes-vous venue voir au festival d’Avignon ?
Je suis en mission pour la ville de Kourou pour voir ce qu’il y a de mieux en termes de spectacle de qualité, raison pour laquelle, je suis à la Chapelle du Verbe incarné. Je regarde les spectacles, je prends contact avec les uns les autres et je tente de savoir s’il est possible sur du long ou du court terme de préférence d’avoir les pièces de théâtre en Guyane.
Vous êtes donc programmatrice ?
Pendant ce festival, je m’essaie à la programmation mais je suis surtout quelqu’un qui découvre le festival d’Avignon et qui va devoir faire une restitution en bonne et due forme à tous les collègues et au maire. Je suis aussi venue voir les structures, étudier comment elles fonctionnent.
Avignon, c’est une première pour vous ?
C’est une première, mais je suis sûre que ça ne sera pas une dernière malgré ce que je peux entendre dire des Avignonnais qui ne sont pas très contents de l’attitude des festivaliers qui leur empoissonnent la vie au quotidien…
Et qui leur font gagner beaucoup d’argent !... Quelles sont les pièces qui ont retenu votre attention et que vous aimeriez faire venir ?
J’aimerais faire venir tout le monde ! Mais vraiment j’ai une préférence pour Mâ ravan’, la pièce du Théâtre Taliipot de la Réunion que j’ai beaucoup appréciée, et puis pour Va, vis de Norma Claire qui est originaire d’ailleurs de Guyane.
Comment faîtes-vous vos choix en dehors de la programmation du TOMA, parmi les 957 spectacles joués dans le Off, car vous devez aussi cherchez autre chose que des pièces de l’outre-mer ?
Absolument ! Mais je crois que c’est une des premières découvertes lorsque l’on vient à Avignon la première fois : nous devons faire des choix très rapides, très précis tellement il y a à voir. Je ne vais pas me restreindre à ce que propose la Chapelle du Verbe incarné et du TOMA, je suis allée voir d’autres pièces, d’autres comédiens dans d’autres théâtres. Ce que je veux ramener, c’est la diversité. Il y aura donc le TOMA et d’autres compagnies que je veux faire découvrir à Kourou et à toute la Guyane.
« Ce que je veux ramener, c’est la diversité »
Qu’êtes-vous venue voir au festival d’Avignon ?
Je suis en mission pour la ville de Kourou pour voir ce qu’il y a de mieux en termes de spectacle de qualité, raison pour laquelle, je suis à la Chapelle du Verbe incarné. Je regarde les spectacles, je prends contact avec les uns les autres et je tente de savoir s’il est possible sur du long ou du court terme de préférence d’avoir les pièces de théâtre en Guyane.
Vous êtes donc programmatrice ?
Pendant ce festival, je m’essaie à la programmation mais je suis surtout quelqu’un qui découvre le festival d’Avignon et qui va devoir faire une restitution en bonne et due forme à tous les collègues et au maire. Je suis aussi venue voir les structures, étudier comment elles fonctionnent.
Avignon, c’est une première pour vous ?
C’est une première, mais je suis sûre que ça ne sera pas une dernière malgré ce que je peux entendre dire des Avignonnais qui ne sont pas très contents de l’attitude des festivaliers qui leur empoissonnent la vie au quotidien…
Et qui leur font gagner beaucoup d’argent !... Quelles sont les pièces qui ont retenu votre attention et que vous aimeriez faire venir ?
J’aimerais faire venir tout le monde ! Mais vraiment j’ai une préférence pour Mâ ravan’, la pièce du Théâtre Taliipot de la Réunion que j’ai beaucoup appréciée, et puis pour Va, vis de Norma Claire qui est originaire d’ailleurs de Guyane.
Comment faîtes-vous vos choix en dehors de la programmation du TOMA, parmi les 957 spectacles joués dans le Off, car vous devez aussi cherchez autre chose que des pièces de l’outre-mer ?
Absolument ! Mais je crois que c’est une des premières découvertes lorsque l’on vient à Avignon la première fois : nous devons faire des choix très rapides, très précis tellement il y a à voir. Je ne vais pas me restreindre à ce que propose la Chapelle du Verbe incarné et du TOMA, je suis allée voir d’autres pièces, d’autres comédiens dans d’autres théâtres. Ce que je veux ramener, c’est la diversité. Il y aura donc le TOMA et d’autres compagnies que je veux faire découvrir à Kourou et à toute la Guyane.