Les Césaire, les trophées, le CRAN et Good music diffusion
Franck Anretar règle ses comptes avec le CRAN
Franck Anretar, responsable de Good music diffusion, organisateur des Césaire de la musique, puis des Trophées des arts afro-caribéens, assure que le CRAN (Conseil représentatif des associations noires) n’a jamais été co-organisateur des Trophées des arts afro-caribéens qui se sont déroulés le 23 septembre au théâtre du Châtelet, à Paris. « Depuis la marche du 10 mai, on n’avait pas envie de travailler avec le CRAN et aucun accord n’a été signé entre le CRAN et Good music diffusion, explique Franck Anretar. Louis-Georges Tin était là en tant personne et pas en tant que représentant du CRAN. » Il précise que toutes les dépenses ont été effectuées par son organisation et que c’est encore elle qui a reçu les subventions de la Ville de Paris et non le CRAN. Pourtant le 16 juin dernier, à la mairie de Paris, le CRAN était dûment représenté comme co-organisateur… « On n’a jamais pu travailler dans la sérénité », justifie Franck Anretar qui admet que ça a été difficile avec la famille Césaire et le triple changement de nom de la manifestation… « Et puis, le combat avec le CRAN a duré jusqu’au bout avec l’affaire Tin. » Franck Anretar reproche à Louis-Georges Tin, président du jury littéraire et porte-parole du CRAN, d’avoir refusé d’attribuer le prix littéraire et d’avoir demandé aux nominés de ne pas venir assister à la cérémonie… Louis-Georges Tin confirmait encore publiquement le 15 septembre que le CRAN était co-organisateur de l’événement. Il reproche par ailleurs à l’organisation d’avoir écarté de la sélection du prix littéraire, l’ouvrage collectif, L’Afrique répond à Nicolas Sarkozy. Réintégré au dernier moment, ce livre n’a toutefois pas obtenu le prix attribué à l’Amérique de Barack Obama.
Franck Anretar, responsable de Good music diffusion, organisateur des Césaire de la musique, puis des Trophées des arts afro-caribéens, assure que le CRAN (Conseil représentatif des associations noires) n’a jamais été co-organisateur des Trophées des arts afro-caribéens qui se sont déroulés le 23 septembre au théâtre du Châtelet, à Paris. « Depuis la marche du 10 mai, on n’avait pas envie de travailler avec le CRAN et aucun accord n’a été signé entre le CRAN et Good music diffusion, explique Franck Anretar. Louis-Georges Tin était là en tant personne et pas en tant que représentant du CRAN. » Il précise que toutes les dépenses ont été effectuées par son organisation et que c’est encore elle qui a reçu les subventions de la Ville de Paris et non le CRAN. Pourtant le 16 juin dernier, à la mairie de Paris, le CRAN était dûment représenté comme co-organisateur… « On n’a jamais pu travailler dans la sérénité », justifie Franck Anretar qui admet que ça a été difficile avec la famille Césaire et le triple changement de nom de la manifestation… « Et puis, le combat avec le CRAN a duré jusqu’au bout avec l’affaire Tin. » Franck Anretar reproche à Louis-Georges Tin, président du jury littéraire et porte-parole du CRAN, d’avoir refusé d’attribuer le prix littéraire et d’avoir demandé aux nominés de ne pas venir assister à la cérémonie… Louis-Georges Tin confirmait encore publiquement le 15 septembre que le CRAN était co-organisateur de l’événement. Il reproche par ailleurs à l’organisation d’avoir écarté de la sélection du prix littéraire, l’ouvrage collectif, L’Afrique répond à Nicolas Sarkozy. Réintégré au dernier moment, ce livre n’a toutefois pas obtenu le prix attribué à l’Amérique de Barack Obama.