David Diomandé, Il était une... Foi
David Diomandé sort un premier livre chez Desnel, un récit autobiographique
« Je n’avais pas prévu de mourir cliniquement… »
Il était une… foi, est-ce votre vie ?
C’est un récit autobiographique, le témoignage de quelqu’un qui a eu la très grande chance de vivre plutôt royalement, aussi bien en terme d’opportunités professionnelle et de vie matérielle et qui a, un jour, en un instant T, connu le pire.
En l’occurrence quoi ? Qui ?
Une mauvaise rencontre professionnelle qui m’a amené à être encore aujourd’hui sous contrôle judiciaire. C’est cette expérience que j’ai eu envie de faire partager aux lecteurs, histoire de leur dire qu’il n’y a pas de fatalité, ni d’adversité dans la vie et qu’à la rigueur, plus celle-ci vous donne de coups, plus il faut savoir rester debout et conserver une certaine positivité.
C’est la chute et la rédemption d’un dandy ?
Rédemption est un mot qui pourrait presque être le bon s’il n’était pas un peu trop fort, mais j’ai envie dire qu’il s’agit de la prise de conscience et la maturité d’un jeune homme qui constate que finalement la vie n’est pas toujours rose mais que pour autant, elle offre suffisamment d’opportunités pour pouvoir se battre pour elle.
Et la foi ?
Je suis d’autant plus content de pouvoir dire aujourd’hui qu’il y a un chapitre supplémentaire que j’ai appelé : la nuit où j’ai rencontré Dieu. Ce chapitre n’était pas prévu au départ… Pour une raison toute simple, je n’avais pas prévu de mourir cliniquement…
Avez-vous subi une telle expérience ?
Le 5 octobre dernier, j’ai quitté le monde pendant six heures ; j’en suis revenu grâce aux compétences de mon médecin et je suis très heureux de pouvoir le dire aujourd’hui !
C’est un ouvrage très personnel, n’avez-vous pas ressenti de la gêne, de la pudeur pour parler de vous ?
Le besoin d’écrire, au-delà de la maladie, est vraiment parti avant tout du fait qu’une mauvaise rencontre a malheureusement tout fait basculer.
Que s’est-il passé ?
Je suis devenu le gérant de paille d’un homme qui a détourné en mon nom 3 millions d’euros. Je me suis retrouvé à connaître les pires ennuis judiciaires. Mon envie partait du principe qu’il ne faut jamais baisser les bras. Il n’y a pas d’adversité. Et au contraire, plutôt que de lui en vouloir, même à cet homme qui m’a causé les pires ennuis, je continue d’être super positif. La vie vaut vraiment le coup d’être vécue !
« Je n’avais pas prévu de mourir cliniquement… »
Il était une… foi, est-ce votre vie ?
C’est un récit autobiographique, le témoignage de quelqu’un qui a eu la très grande chance de vivre plutôt royalement, aussi bien en terme d’opportunités professionnelle et de vie matérielle et qui a, un jour, en un instant T, connu le pire.
En l’occurrence quoi ? Qui ?
Une mauvaise rencontre professionnelle qui m’a amené à être encore aujourd’hui sous contrôle judiciaire. C’est cette expérience que j’ai eu envie de faire partager aux lecteurs, histoire de leur dire qu’il n’y a pas de fatalité, ni d’adversité dans la vie et qu’à la rigueur, plus celle-ci vous donne de coups, plus il faut savoir rester debout et conserver une certaine positivité.
C’est la chute et la rédemption d’un dandy ?
Rédemption est un mot qui pourrait presque être le bon s’il n’était pas un peu trop fort, mais j’ai envie dire qu’il s’agit de la prise de conscience et la maturité d’un jeune homme qui constate que finalement la vie n’est pas toujours rose mais que pour autant, elle offre suffisamment d’opportunités pour pouvoir se battre pour elle.
Et la foi ?
Je suis d’autant plus content de pouvoir dire aujourd’hui qu’il y a un chapitre supplémentaire que j’ai appelé : la nuit où j’ai rencontré Dieu. Ce chapitre n’était pas prévu au départ… Pour une raison toute simple, je n’avais pas prévu de mourir cliniquement…
Avez-vous subi une telle expérience ?
Le 5 octobre dernier, j’ai quitté le monde pendant six heures ; j’en suis revenu grâce aux compétences de mon médecin et je suis très heureux de pouvoir le dire aujourd’hui !
C’est un ouvrage très personnel, n’avez-vous pas ressenti de la gêne, de la pudeur pour parler de vous ?
Le besoin d’écrire, au-delà de la maladie, est vraiment parti avant tout du fait qu’une mauvaise rencontre a malheureusement tout fait basculer.
Que s’est-il passé ?
Je suis devenu le gérant de paille d’un homme qui a détourné en mon nom 3 millions d’euros. Je me suis retrouvé à connaître les pires ennuis judiciaires. Mon envie partait du principe qu’il ne faut jamais baisser les bras. Il n’y a pas d’adversité. Et au contraire, plutôt que de lui en vouloir, même à cet homme qui m’a causé les pires ennuis, je continue d’être super positif. La vie vaut vraiment le coup d’être vécue !
Diomandé, dé mo kat pawol
À 36 ans, David Diomandé a déjà derrière lui une fourmillante carrière d’animateur, de présentateur et de journaliste de télévision, radio et presse écrite, commencée alors qu’il avait à peine vingt ans.
Né à Paris de mère martiniquaise et de père ivoirien, le petit « Afro-antillais » ne connaîtra la Martinique qu’à l’âge de sept ans. Passionné de cinéma et d’audiovisuel, le jeune David passe son bac philo au lycée Schoelcher et commence à étudier les Lettres modernes et le Droit à l’université Antilles-Guyane avant de faire ses débuts à la télévision à ATV. Il poursuivra à Paris sa formation de journaliste-rédacteur sous l’égide de Michel Drucker, son mentor. Et c’est ce mentor qui préface son ouvrage.
À 36 ans, David Diomandé a déjà derrière lui une fourmillante carrière d’animateur, de présentateur et de journaliste de télévision, radio et presse écrite, commencée alors qu’il avait à peine vingt ans.
Né à Paris de mère martiniquaise et de père ivoirien, le petit « Afro-antillais » ne connaîtra la Martinique qu’à l’âge de sept ans. Passionné de cinéma et d’audiovisuel, le jeune David passe son bac philo au lycée Schoelcher et commence à étudier les Lettres modernes et le Droit à l’université Antilles-Guyane avant de faire ses débuts à la télévision à ATV. Il poursuivra à Paris sa formation de journaliste-rédacteur sous l’égide de Michel Drucker, son mentor. Et c’est ce mentor qui préface son ouvrage.