Maîtres Arisitide et Tacita du barreau de Guadeloupe
Sarah Aristide et Patrice Tacita mis en examen par le juge Dutartre
Après deux heures de visio-conférence, hier après-midi, entre le bureau du doyen des juges d’instruction parisiens, Nathalie Dutartre et la Guadeloupe, les deux avocats Sarah Aristide et Patrice Tacita se sont vus signifier leur mise en examen des chefs de diffamation et de violation du secret de l’instruction. A Paris, dans le bureau du juge, il y avait l’ancien bâtonnier Socrate Tacita et Alex Ursulet. En Guadeloupe, outre les deux mis en cause, il y avait, pour les défendre, une vingtaine de confrères dont Daniel Démocrite, les bâtonniers Rodes et Ezelin, mais aussi des confrères du barreau de la Martinique, Mes Constant et Germany. Le juge parisen agissait suite à une plainte du procureur de la République de Pointe-à-Pitre qui reprochait aux avocats Aristide et Tacita d’avoir fait état d’écoutes téléphoniques dans une procédure en cours lors d’une conférence de presse. Mes Tacita et Aristide et leurs défenseurs ont pris acte de cette mise en examen. Il leur reste à être entendus sur le fond en attendant de savoir s’ils seront renvoyés ou pas devant le tribunal correctionnel de Paris. Me Ursulet a déclaré, à l’issue de cette visio-conférence : « On n’a pas le courage d’attaquer le LKP, alors on attaque leurs avocats… »
Après deux heures de visio-conférence, hier après-midi, entre le bureau du doyen des juges d’instruction parisiens, Nathalie Dutartre et la Guadeloupe, les deux avocats Sarah Aristide et Patrice Tacita se sont vus signifier leur mise en examen des chefs de diffamation et de violation du secret de l’instruction. A Paris, dans le bureau du juge, il y avait l’ancien bâtonnier Socrate Tacita et Alex Ursulet. En Guadeloupe, outre les deux mis en cause, il y avait, pour les défendre, une vingtaine de confrères dont Daniel Démocrite, les bâtonniers Rodes et Ezelin, mais aussi des confrères du barreau de la Martinique, Mes Constant et Germany. Le juge parisen agissait suite à une plainte du procureur de la République de Pointe-à-Pitre qui reprochait aux avocats Aristide et Tacita d’avoir fait état d’écoutes téléphoniques dans une procédure en cours lors d’une conférence de presse. Mes Tacita et Aristide et leurs défenseurs ont pris acte de cette mise en examen. Il leur reste à être entendus sur le fond en attendant de savoir s’ils seront renvoyés ou pas devant le tribunal correctionnel de Paris. Me Ursulet a déclaré, à l’issue de cette visio-conférence : « On n’a pas le courage d’attaquer le LKP, alors on attaque leurs avocats… »