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Publié par fxg

Les rivaux de Painfull Gulch
L'un pourrait être un O'Hara, l'autre un O'Timins, mais contrairement à l'esprit de ce célèbre Lucky Luke de Gosciny et Uderzo, les deux héros en présence se marrent beaucoup moins... Claude Ribbe et Patrick Karam s'attaquent mutuellement par voie de citation directe, c'est-à-dire sans que l'action du ministère public ne soit engagée. C'est ainsi que nous avons écrit que Claude Ribbe serait jugé le 10 février sur une assignation de Patrick Karam qui a valu au premier d'être mis en examen. Mais Claude Ribbe (et c'était l'objet de son ire) n'a jamais été placé en garde à vue, nous a-t-il précisé, admettant simplement avoir été convoqué par la police. De son côté, Patrick Karam a été attaqué par Claude Ribbe et comparaîtra le 7 janvier. Celui ci aussi sent monter très fort son courroux. Il n'a pas aprécié la campagne de mails lancée par Claude Ribbe et ses amis de Veilledom et Armada. Il a donc décidé de communiquer. Nous publions son texte :

"Patrick Karam : Je n’accepte plus d’être injurié, diffamé et calomnié"

"Cela fait maintenant un an et demi que trois ou quatre individus, désœuvrés et jaloux, mènent une campagne obsessionnelle, malsaine et diffamatoire contre ma fonction et ma personne, contre ma famille, mes proches, mes amis, mes collaborateurs sur des sites internet ou par des envois massifs de mails à plusieurs dizaines de milliers de personnes, à tous les ministères et responsables politiques quasiment toutes les semaines.

Je me suis tu pendant tout ce temps, préférant me concentrer sur ma mission au service de mes compatriotes ultramarins. Mais trop c’est trop. Ces individus pensent être au-dessus des lois en se cachant pour salir et diffamer impunément. Mais c’est fini, je n’accepte plus qu’on salisse mon honneur comme lorsqu’on me calomnie en disant que j’ai détourné des fonds publics. Je n’accepte plus d’être diffamé et injurié quotidiennement, d’être traité de « bata syrien ». Je refuse que ma famille et mes proches soient insultés et traînés dans la boue. Les auteurs de ces injures et de ces diffamations auront désormais à en rendre compte devant la justice.

J’ai déposé une plainte avec constitution de partie civile contre Claude Ribbe. Après avoir été entendu par la police, Claude Ribbe a été mis en examen par un juge d’instruction pour diffamation et injures et renvoyé devant le tribunal correctionnel. Il sera jugé le 11 février 2010.

Dans le seul but de me salir et pour faire diversion, Claude Ribbe a introduit devant le Tribunal Correctionnel de Paris en septembre 2009 une plainte fantaisiste en citation directe pour détournement de fonds publics.

Il me calomnie en prétendant que j’utilise les fonds de la délégation interministérielle pour l’attaquer en justice. C’est précisément le contraire. Comme n’importe quel fonctionnaire, j’ai le droit à la protection juridique de mon autorité de tutelle dès lors que je suis attaqué dans le cadre de mes fonctions. En l’espèce, c’est bien parce qu’il m’a calomnié et injurié à maintes reprises que le Secrétariat général du gouvernement (SGG) après instruction m’a accordé légitimement cette protection et donc prend en charge les frais de mon avocat. 

Claude Ribbe devra rendre compte de ses inventions malveillantes de détournement de fonds publics lorsque le tribunal examinera la question le 7 janvier 2010. Il devra ensuite en assumer toutes les conséquences car je demanderai des dommages et intérêts très lourds pour procédure abusive. Par la suite, je redéposerai plainte et demanderai une condamnation pour dénonciation calomnieuse.

Afin que les choses soient claires, j’annonce tout de suite que je verserai tous les dommages et intérêts perçus à des associations ultramarines, et notamment à celle qui milite contre la drépanocytose.
Quant à la campagne honteuse et malsaine menée par des individus malveillants, racistes et lâches qui se cachent derrière l’anonymat d’un site internet (dont Veilledom), j’annonce que j’ai déposé une plainte contre X pour diffamation et injures avec constitution de partie civile. J’ai aussi saisi le procureur de la République. L'enquête de police sous la direction d'un juge d'instruction fera toute la lumière sur les auteurs et les diffuseurs de ces communiqués.

Cet acharnement et ces mensonges sont sans précédents. Aucun autre responsable public n’a eu à subir d’attaques aussi violentes et aussi injustifiées. Et c’est sans doute cette conscience de l’injustice que je subis qui vous a poussés à vous mobiliser massivement en ma faveur.

J’ai reçu plusieurs milliers de témoignages de sympathie et de soutien, je ne peux répondre à chacun de vous individuellement mais je voudrais vous dire combien votre solidarité m’a ému et combien elle me conforte dans ma volonté de continuer à me battre pour vous, pour une société plus juste et plus fraternelle."

 


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