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Publié par fxg

Kareen Guiock et Juliette Fievet de retour du rallye des Gazelles

Julieete-et-Kareen-de-retour-du-Maroc-photo-Alfred-Jocksan.jpgLa journaliste de M6 Kareen Guiock et la chroniqueuse Juliette Fievet ont terminé le 24e rallye Aïcha des gazelles, fatiguées mais joyeuses, emplies d’une incroyable énergie à l’issue d’une belle aventure solidaire.

Elles ont été accueillies dimanche soir à la sortie de l’avion à Roissy par leurs amis parisiens venus en nombre les féliciter de leur exploit : avoir couru le rallye Aïcha des gazelles entre Paris et le désert marocain. Elles avaient le visage marqué par l’effort mais radieux et le sentiment d’avoir réalisé un formidable geste de solidarité en permettant à l’association « Sport ta vie » de remporter un chèque de 1000 euros.

L’équipage 165 a fini la course à la 112e place. Toutes les deux ont partagé le volant de leur 4x4, tour à tour pilote et copilote. Elles ont aussi commis des erreurs en s’aventurant dans le désert et se faisant rappeler à l’ordre par les organisateurs. Kareen-Guiock-photo-Alfred-Jocksan.jpgLa Guadeloupéenne, Kareen Guiock, a profité d’un désistement de dernière minute pour prendre le volant et foncer dans le désert. Même avec la peur, elle a osé : « Je connais bien le rallye. Je l’ai couvert plusieurs fois en tant que journaliste. Je m’étais juré de ne jamais le faire. » Pari perdu !« Face aux dunes, j’ai souffert. On en a bavé sincèrement. Mais le désert c’est libérateur. La seule peur qu’on peut avoir est de ne pas trouver la sortie, d’être prises au piège de l’endroit. » Pourtant elle éprouve déjà l’envie de repartir affronter les dunes et la chaleur sèche du reg. « Je suis super heureuse d’avoir fait le rallye des Gazelles. Ça te vide la tête et ça te remplit d’énergie. »

L’aventure a duré deux semaines pour les deux copines. Elles sont parties « pour être cool et non dans la compétition ». Elles ont souvent pleuré de rire au milieu des dunes. « On est passé par des moment où on a failli péter les plombs »,expliquent les deux aventurières. Un marathon des sables motorisé vraiment usant mais un exploit pour leur première participation.

Alfred Jocksan (agence de presse GHM)

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B
<br /> ça fait plaisir de savoir que Kareen est toujours en vie. Bravo Sciences Po !<br /> <br /> <br /> c'est vrai, elle aurait pu se péter la gueule en quad à St Martin et y rester.<br />
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