Riding zone avec Tiga sur France Ô
Riding zone sur France Ô avec Tiga
Surf, skate, snow, bodyboard, moto, bmx, kitesurf, freeride, etc… Riding zone fait sa rentrée sur France Ô ! L’unique émission de la TNT à traiter de l’univers de la glisse a désormais un visage. Chaque semaine, l’ancienne miss, Tiga, propose un tour d’horizon de l’actualité de tous les sports extrêmes en France et dans le reste du monde, depuis différents spots aussi époustouflants les uns des autres. La charmante animatrice propose également un aperçu des cultures alternatives, des portraits de riders, de musiciens et plein d’autres surprises...
Pour sa reprise, le samedi 24 septembre à partir de 22h30, Riding Zone a offert aux téléspectateurs un medley des événements sportifs les plus marquants de cet été ; les portraits du surfeur brésilien, Gabriel Médina, du champion de roller américain, Franky Morales, et pour la partie musicale, le groupe de rock anglais, The Wombats. L’émission sera ensuite à la Réunion pour l’étape océanienne de l’Iba pro, puis à Hossegor pour le quick pro où Tiga nous promet une rencontre avec Kelly Slater, après avoir investi les décors underground et urbains des Frigos du quai de la gare à la Paris pour nous parler de culture underground avec Larrivaz, dit Larri, et des planches nouvelles tendances ! Et ce n’est qu’un début pour la nouvelle saison de Riding zone et de Tiga.
Grandie avec les dread locks et le baggy des surfers dans ses Landes natales, ancienne première dauphine de miss France, puis animatrice sur TF1 et W9, Tiga a été présentée à Jonathan Politur, le producteur de l’émission, par Taïg Khris lui-même !
FXG (agence de presse GHM)
Diffusion le samedi à 22 h 30 sur FÔ,
Le producteur guyanais, patron de Puzzle média, Jonathan Politur et Tiga
Entretien avec une jeune femme spontanée et audacieuse.
« Une autre manière de parler des sports extrêmes »
Après avoir été élue dauphine de miss France en 2006, vous avez aussitôt su surfer sur la vague du succès avec Les enfants de la télé sur TF1…
Le 6 décembre 2005, Endemol (c’est miss France) m’a vu, a remarqué que j’étais assez à l’aise… J’arrivais tout juste de Cuba ; j’étais régisseuse, chorégraphe et danseuse dans une troupe ; je m’occupais des décors, des lumières, de la bande son, des chorégraphies ; je mettais en scène des pièces de théâtre… La scène, c’est vraiment mon univers donc j’étais très à l’aise. Ca a du se ressentir ce soir-là ; ils m’ont contactés, j’ai passé des castings et ça a débouché aux Enfants de la télé à côté d’Arthur.
Et vous avez glissé de TF1 à W9…
J’ai fini ma saison aux enfants de la télé et Mme de Fontenay m’a demandé d’être sa régisseuse de spectacle. Pendant un an, j’ai été dans toute la France avec elle pour mettre en scène la miss France et puis, par hasard, je rencontre Frédéric de Vincelles (dg de W9) à qui je glisse que j’aimerai bien reprendre la télé… Et pendant deux ans et demi, j’ai été à la tête du Hit talents pour parler de musiques francophones…
Pourquoi être partie, ça patinait ?
La vérité, c’est que j’ai obtenu mon visa pour les Etats-Unis que je demandais depuis quatre ans… C’est vrai qu’au sein de la chaîne, je ne sortais pas du studio. Ca faisait deux ans et de mi que j’étais sur fond vert à essayer de faire évoluer l’émission mais sans pouvoir sortir du studio… Je commençais à tourner en rond et les Etats-unis se sont offerts comme une nouveauté. Le 25 décembre 2010, j’ai enregistré la dernière de Hit talents et, début janvier, j’étais aux là-bas. J’y suis restée six mois et le hasard a fait que quand je suis rentrée en août, Puzzle média m’a contactée.
Et vous avez déboulé tout schuss sur Riding zone… Le spot vous plaît ?
Les divers spots me plaisent énormément et c’est justement ce qui me manquait chez W9, sortir, aller à la rencontre des artistes… Là, je suis comblée.
Vous aviez jusqu’alors un prompteur pour vos textes, ce n’est plus le cas. N’avez-vous pas peur de déraper ?
On peut toujours refaire la prise ! Je suis impulsive, naturelle et c’est plutôt ça qui plaît chez moi. Dès que les choses sont trop préparées ou trop écrites, je perds beaucoup de naturel et de sympathie, certainement.
Riding zone parle beaucoup des sports en marge ou sports extrêmes, mais ripe également sur les cultures alternatives et underground. Comment faîtes-vous le liant entre les deux ?
On parle de métal, de rock alternatif, de reggae avec des gens qui, souvent, pratiquent ces sports… Nos musiques sont celles qu’écoute notre public. Les artistes qu’on interroge, comme Larri qui peint sur des planches de surf ou de skate… C’est une autre manière de parler du sport et des sports extrêmes.
Vous-même, pratiquez-vous la glisse ?
J’y suis autorisée et on me le conseille vivement. Je fais beaucoup de vélo. Quand j’étais petite, pour un Noël, mon père avait offert à ma sœur et moi, BMX, skate, roller, les protections et tout ce qui fallait… J’en ai fait mais je n’étais pas casse-cou du tout. C’est quelque chose qui n’est en train d’arriver qu’aujourd’hui… Je suis plus courageuse qu’avant mais je n’ai pas encore la touch !
propos recueillis par FXG