Pour des clips de qualité
La Région Guadeloupe signe une « convention clips »José Gaddarkhan (A1 Guadeloupe),Olivier Laouchez (Trace TV), Jean-Michel Morales (Canal 10), Victorin Lurel, Jean-Noël Tronc (Canal Overseas) et Alex Uri (RFO. Ce dernier a remplacé au pied levé MM. Yves Garnier et Luc Laventure qui se sont trompés de théâtre...)
En avant-première du concert de Soft, Moun Karayib et K’Koustic, au casino de Paris, lundi soir, le président de Région, Victorin Lurel a réuni les patrons de Canal Overseas, RFO, ATV, Canal 10, La Une Guadeloupe, Trace TV pour la signature d’une convention destinée à relancer la production de clips en Guadeloupe. « Nos clips étaient jusqu’à présent de qualité souvent médiocre… » La Région a donc mis en place un fonds de soutien. Les clips pourront bénéficier d’une aide de 12 500 euros. « Jusqu’à présent, avec 5 000 euros, on faisait des chansons filmées que les diffuseurs ne voulaient pas sur leurs antennes. Grâce à cette convention, nous pouvons espérer aider à la réalisation de cinq à dix clips par an », a expliqué le président Lurel. La convention a été co-signée par le fonds de création musicale que devraient rejoindre la SACEM et la société des producteurs phonographiques. Un regret du président Lurel : l’absence du Centre national de la cinématographie qui aurait craint dans cette convention de soutenir une démarche communautariste.
En avant-première du concert de Soft, Moun Karayib et K’Koustic, au casino de Paris, lundi soir, le président de Région, Victorin Lurel a réuni les patrons de Canal Overseas, RFO, ATV, Canal 10, La Une Guadeloupe, Trace TV pour la signature d’une convention destinée à relancer la production de clips en Guadeloupe. « Nos clips étaient jusqu’à présent de qualité souvent médiocre… » La Région a donc mis en place un fonds de soutien. Les clips pourront bénéficier d’une aide de 12 500 euros. « Jusqu’à présent, avec 5 000 euros, on faisait des chansons filmées que les diffuseurs ne voulaient pas sur leurs antennes. Grâce à cette convention, nous pouvons espérer aider à la réalisation de cinq à dix clips par an », a expliqué le président Lurel. La convention a été co-signée par le fonds de création musicale que devraient rejoindre la SACEM et la société des producteurs phonographiques. Un regret du président Lurel : l’absence du Centre national de la cinématographie qui aurait craint dans cette convention de soutenir une démarche communautariste.