/image%2F1477392%2F20170324%2Fob_fe6a9f_img-9858.JPG)
Gay pride
L’outre-mer à la gay pride
Patrick Karam, le délégué interministériel à l’égalité des chances des Français d’outre-mer, s’est rendu à la gay pride ou marche des fiertés, hier, à Paris. Il est venu rencontrer David Auerbach-Shiffrin de l’association Tjenbé red pour affirmer sa volonté de lutter contre l’homophobie et la détresse qui en découle : abandons d’adolescents, suicides, discriminations a l’école. David Auerbach-Shiffrin a été chargé par Patrick Karam d’évaluer, de quantifier les problèmes liés à l’homophobie dans la communauté antillaise.
Chaque discrimination a ses spécificités, qu’elles soient racistes, sexistes, handiphobes, homophobes, lesbophobes ou transphobes.
Le mot d’ordre, choisi par les 52 associations membres de l’Inter LGBT (Lesbienne, gay, bi et transexuel) : « Pour une école sans aucune discrimination » veut lier l’ensemble de ces combats, et rappeler le monde éducatif à ses devoirs. « Lutter contre toutes les discriminations suppose une totale détermination de l’ensemble des acteurs de la communauté éducative, et une volonté politique. », insiste M. Auerbach-Shiffrin.
En tête de cortége l’inévitable service d’ordre du PCF très années 1970, encadre les huiles. À gauche Patrick Karam et son poisson pilote David Auerbach-Shiffrin, au centre les princes de la ville et de la région Bertrand Delanoé et Jean-Paul Huchon, Alain Piriou Président de LGBT (interassociative lesbienne, gaie, bi et trans.), et à droite, Patrick Lozès, le président du CRAN. On a croisé Jack Lang, hors cortége comme d’habitude, mais toujours en tête.
Patrick Karam à la gay pride, entre David Auerbach-Shiffrin et Gwladys Pallas, originaire de Gosier, chargé de communication de Glad’s Évènements. (photo RDG), à l'extrème gauche, Christian Antoinette administrateur de tjenbé rèd.
Patrick Karam, le délégué interministériel à l’égalité des chances des Français d’outre-mer, s’est rendu à la gay pride ou marche des fiertés, hier, à Paris. Il est venu rencontrer David Auerbach-Shiffrin de l’association Tjenbé red pour affirmer sa volonté de lutter contre l’homophobie et la détresse qui en découle : abandons d’adolescents, suicides, discriminations a l’école. David Auerbach-Shiffrin a été chargé par Patrick Karam d’évaluer, de quantifier les problèmes liés à l’homophobie dans la communauté antillaise.Chaque discrimination a ses spécificités, qu’elles soient racistes, sexistes, handiphobes, homophobes, lesbophobes ou transphobes.Le mot d’ordre, choisi par les 52 associations membres de l’Inter LGBT (Lesbienne, gay, bi et transexuel) : « Pour une école sans aucune discrimination » veut lier l’ensemble de ces combats, et rappeler le monde éducatif à ses devoirs. « Lutter contre toutes les discriminations suppose une totale détermination de l’ensemble des acteurs de la communauté éducative, et une volonté politique. », insiste M. Auerbach-Shiffrin.
En tête de cortége l’inévitable service d’ordre du PCF très années 1970, encadre les huiles. À gauche Patrick Karam et son poisson pilote David Auerbach-Shiffrin, au centre les princes de la ville et de la région Bertrand Delanoé et Jean-Paul Huchon, Alain Piriou Président de LGBT (interassociative lesbienne, gaie, bi et trans.), et à droite, Patrick Lozès, le président du CRAN. On a croisé Jack Lang, hors cortége comme d’habitude, mais toujours en tête.
Patrick Karam à la gay pride, entre David Auerbach-Shiffrin et Gwladys Pallas, originaire de Gosier, chargé de communication de Glad’s Évènements. (photo RDG), à l'extrème gauche, Christian Antoinette administrateur de tjenbé rèd.