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Publié par fxg

Cellule de crise au ministère de l’Intérieur
Jeudi soir, moins de vingt-cinq minutes après le tremblement de terre qui a secoué les Antilles (puissance 7,3 sur l'échelle de Richter, durée 1 minute), le ministère de l’Intérieur, de l’Outre-mer et des Collectivités territoriales annonçait la réunion sous la direction de Michèle Alliot-Marie d’une cellule de crise, place Beauvau. Les préfets de Martinique et de Guadeloupe, alors à Paris, ont pu travailler avec le directeur central de la sécurité civile et le directeur de la gendarmerie nationale. Christian Estrosi, de son côté, se trouvait à Nice où se rendait hier le président de la République pour le sommet franco-italien.
Vers 23 heures jeudi, Nicolas Desforges, le directeur de cabinet du secrétaire d’Etat à l’Outre-mer ramenait avec lui, rue Oudinot, les deux préfets, le colonel Kandel, conseiller gendarmerie, et Charles Apanon, le conseiller martiniquais en charge de l’économie, du tourisme et de l’agriculture. Leur travail, en liaison constante avec les préfectures sur place, a consisté à faire le point sur la situation et les besoins exprimés. Hier après-midi, le secrétaire d’Etat à l’Outre-mer annonçait le maintien de la fermeture des écoles et des collèges malgré « un retour progressif à la normale » tant que les conditions de sécurité n’auront pas été vérifiées. Il indiquait avoir demandé aux deux préfectures de mettre en place une cellule d’expertise bâtimentaire, et confirmait aussi le bilan d’un mort par crise cardiaque et de six blessés en Martinique.
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