A Nantes
GESTE (by Brune)
Quand un artiste peintre ivoirien et un cadre de l'éducation nationale martiniquaise se rencontrent faire une livre d'art, cela donne l'ouvrage intitulé "Geste", publié aux éditions Opéra. Vendredi dernier, Marie-Christrine Sainte-Rose, martiniquaise aujourd'hui à Angers, et Ludovic Kouassi, artiste peintre originaire de Cote d'ivoire exposant en ce moment un peu partout en France, se sont retrouvés à l'espace Louis-Delgrès à Nantes, une galerie d'art qui sert aussi de maison de l'outre-mer et qui ouvert ses portes en septembre 2004.
Marie-Christine Sainte-Rose à longtemps été prof de lettres modernes au collège au Saint-Esprit. En 2004, elle pose ses valises à Angers, dans le Maine et Loire.
Carde dans l'éducation nationale, elle continue à s'adonner à ce qu'elle faisait déjà à la Martinique : la poésie, l'écriture un brin surréaliste qui magnifie les gestes simples de la vie quotidienne : faire son marché, porter de l'eau... Il y a quelques années, Marie Christine propose à Ludovic Kouassi, qui peint les femmes avec leurs rondeurs, d'y adjoindre des textes.
A l'arrivée, le livre est beau. Les deux auteurs, sensibles aux rythmes de la vie quotidienne ont construit un alliage fait de dessins simples et expressifs et de phrases courtes, avant tout musicales.
Quand un artiste peintre ivoirien et un cadre de l'éducation nationale martiniquaise se rencontrent faire une livre d'art, cela donne l'ouvrage intitulé "Geste", publié aux éditions Opéra. Vendredi dernier, Marie-Christrine Sainte-Rose, martiniquaise aujourd'hui à Angers, et Ludovic Kouassi, artiste peintre originaire de Cote d'ivoire exposant en ce moment un peu partout en France, se sont retrouvés à l'espace Louis-Delgrès à Nantes, une galerie d'art qui sert aussi de maison de l'outre-mer et qui ouvert ses portes en septembre 2004.
Marie-Christine Sainte-Rose à longtemps été prof de lettres modernes au collège au Saint-Esprit. En 2004, elle pose ses valises à Angers, dans le Maine et Loire.
Carde dans l'éducation nationale, elle continue à s'adonner à ce qu'elle faisait déjà à la Martinique : la poésie, l'écriture un brin surréaliste qui magnifie les gestes simples de la vie quotidienne : faire son marché, porter de l'eau... Il y a quelques années, Marie Christine propose à Ludovic Kouassi, qui peint les femmes avec leurs rondeurs, d'y adjoindre des textes.
A l'arrivée, le livre est beau. Les deux auteurs, sensibles aux rythmes de la vie quotidienne ont construit un alliage fait de dessins simples et expressifs et de phrases courtes, avant tout musicales.