projet de loi liberté des universités
La loi Liberté des universités sera adaptée à la réalité de l’UAG
Le Sénat discute actuellement le projet de loi sur la liberté des universités. Dans la nuit de jeudi à vendredi, Serge Larcher, sénateur martiniquais, apparenté socialiste, est parvenu à convaincre le gouvernement de prendre en compte les amendements qu’il a cosignés avec Claude Lise (app soc, Martinique) et Jacques Gillot (app soc, Guadeloupe). « Ce projet de loi était totalement muet sur les universtités d’outre-mer, particulièrement, sur l’UAG, raconte M. Larcher. Devant cet oubli surprenant, je me suis attaché à présenter un amendement pour qu’il y ait des dispositions spécifiques pour l’UAG, un autre sur la composition du conseil d’administration pour tenir compte des trois Régions et un troisième pour la composition des comités de sélection des enseignants chercheurs. » Le projet de loi initial prévoyait que 50 % des membres de ce comité soient extérieurs à l’UAG. Ce dispositif entraînerait des surcoûts très importants pour faire venir des gens de métropole. « Le Gouvernement nous a entendu, poursuit Serge Larcher, et il a déposé un amendement qui reprend nos propositions. Une ordonnance devra être prise d’ici six mois pour régler les problèmes de l’UAG. Valérie Pécresse, le ministre de l’Enseignement supérieur, s’est engagée à ouvrir une concertation avec les universitaires et les élus. On a du pain sur la planche ! »
Le Sénat discute actuellement le projet de loi sur la liberté des universités. Dans la nuit de jeudi à vendredi, Serge Larcher, sénateur martiniquais, apparenté socialiste, est parvenu à convaincre le gouvernement de prendre en compte les amendements qu’il a cosignés avec Claude Lise (app soc, Martinique) et Jacques Gillot (app soc, Guadeloupe). « Ce projet de loi était totalement muet sur les universtités d’outre-mer, particulièrement, sur l’UAG, raconte M. Larcher. Devant cet oubli surprenant, je me suis attaché à présenter un amendement pour qu’il y ait des dispositions spécifiques pour l’UAG, un autre sur la composition du conseil d’administration pour tenir compte des trois Régions et un troisième pour la composition des comités de sélection des enseignants chercheurs. » Le projet de loi initial prévoyait que 50 % des membres de ce comité soient extérieurs à l’UAG. Ce dispositif entraînerait des surcoûts très importants pour faire venir des gens de métropole. « Le Gouvernement nous a entendu, poursuit Serge Larcher, et il a déposé un amendement qui reprend nos propositions. Une ordonnance devra être prise d’ici six mois pour régler les problèmes de l’UAG. Valérie Pécresse, le ministre de l’Enseignement supérieur, s’est engagée à ouvrir une concertation avec les universitaires et les élus. On a du pain sur la planche ! »