Procès de la noyade à Macouba
Six mois avec sursis au lieu de dix pour Sainte-Rose Cakin
hier, la XXe chambre de la cour d’appel de Paris a rendu son jugement dans l’affaire mettant en cause le maire de Macouba, Sainte-Rose Cakin. L’affaire avait été plaidée le 10 avril dernier. La peine décidée par le tribunal coirrectiponnel de Paris (dix mois avec sursis et une condamnaton « à titre personnel » à payer des dommages à la famille de la victime) a été ramenée à six mois avec sursis. La peine ne sera pas inscrite au casier judiciaire de l’édile et cette condamnaton n’est plus « personnelle ».
Sainte-Rose Cakin était poursuivi pour la mort d’une fillete dans le bassin municipal de Macouba dont la surveillance avait été confiée à des emplois jeunes, absents au moment de la noyade en janvier 2004.

hier, la XXe chambre de la cour d’appel de Paris a rendu son jugement dans l’affaire mettant en cause le maire de Macouba, Sainte-Rose Cakin. L’affaire avait été plaidée le 10 avril dernier. La peine décidée par le tribunal coirrectiponnel de Paris (dix mois avec sursis et une condamnaton « à titre personnel » à payer des dommages à la famille de la victime) a été ramenée à six mois avec sursis. La peine ne sera pas inscrite au casier judiciaire de l’édile et cette condamnaton n’est plus « personnelle ».
Sainte-Rose Cakin était poursuivi pour la mort d’une fillete dans le bassin municipal de Macouba dont la surveillance avait été confiée à des emplois jeunes, absents au moment de la noyade en janvier 2004.