frivolités
Trophée miss France
Miss Martinique, miss Guadeloupe et miss Guyane, sont comme 35 autres miss, prétendantes à la couronne de miss France. Elles dévoilent leurs impressions, depuis Dunkerque, où elles préparent l'élection de miss France, le 8 décembre prochain.
Miss Martinique, miss Guadeloupe et miss Guyane, sont comme 35 autres miss, prétendantes à la couronne de miss France. Elles dévoilent leurs impressions, depuis Dunkerque, où elles préparent l'élection de miss France, le 8 décembre prochain.
Bianca Careto, la candidate martiniquaise au titre de miss France a 19 ans, est étudiante en 2e année de géographie et apprentie comédienne.
« Depuis qu’on est arrivé à Dunkerque, on a des répétitions pour la préparation de l’élection. On est tous les jours au stade de Flandres. Avec les autres miss, l’ambiance est super. On s’entend bien. Bien sûr je me suis retrouvée avec les miss de Guyane et de Guadeloupe, mais tout le monde échange. C’est à Saint-Domingue qu’on a eu des affinités les unes avec les autres, mais avec beaucoup d’altruisme. Je partage ma chambre avec miss Mayotte. Elle est branchée théâtre comme moi. ! J’ai joué Antigone de Sophocle, en créole, à l’Atrium. L’an passé, j’ai aussi participé à Fort-de-Danse… Mais là, on doit travailler, de 9 heures à 20 h 30 ! Il faut rester sereine surtout quand on se retrouve loin de chez soi et au froid ! Mais il faut se donner à fond et être en compétition avec soi-même. Notre professeur, Laura, et son assistant, Lionel, sont très exigeants mais ils sont drôles. Je suis là parce que j’aime la chaîne et que c’est l’occasion de montrer les filles de nos régions. Je représente les valeurs essentielles des régions et des outre-mer. J’espère au moins arriver troisième sur le podium et me faire une place dans le monde de la scène, le théâtre. »
« Depuis qu’on est arrivé à Dunkerque, on a des répétitions pour la préparation de l’élection. On est tous les jours au stade de Flandres. Avec les autres miss, l’ambiance est super. On s’entend bien. Bien sûr je me suis retrouvée avec les miss de Guyane et de Guadeloupe, mais tout le monde échange. C’est à Saint-Domingue qu’on a eu des affinités les unes avec les autres, mais avec beaucoup d’altruisme. Je partage ma chambre avec miss Mayotte. Elle est branchée théâtre comme moi. ! J’ai joué Antigone de Sophocle, en créole, à l’Atrium. L’an passé, j’ai aussi participé à Fort-de-Danse… Mais là, on doit travailler, de 9 heures à 20 h 30 ! Il faut rester sereine surtout quand on se retrouve loin de chez soi et au froid ! Mais il faut se donner à fond et être en compétition avec soi-même. Notre professeur, Laura, et son assistant, Lionel, sont très exigeants mais ils sont drôles. Je suis là parce que j’aime la chaîne et que c’est l’occasion de montrer les filles de nos régions. Je représente les valeurs essentielles des régions et des outre-mer. J’espère au moins arriver troisième sur le podium et me faire une place dans le monde de la scène, le théâtre. »
Mandy Salla, la candidate guadeloupéenne au titre de miss France a 18 ans et est étudiante en 2e année de BTS commerce international.
« Nous sommes en pleine préparation. Ca a commencé depuis le 26 novembre. C’est très intense avec les chorégraphies, mais je tiens le coup. On a quitté une ambiance un peu idyllique à Saint-Domingue… Entre les filles, on s’entend bien. Je suis souvent avec miss Flandres et miss Franche-comté qui est ma colocataire. Pour la prépa, il suffit de bien écouter et de s’accrocher. J’ai dansé aux Abymes… L’effort d’apprentissage, je connais. Tout est possible. Je fais de mon mieux car tout le monde peut y arriver. C’est le jury qui décidera. Moi, je ferai du mieux que je peux pour monter à ma place ! Même si le but premier, c’est l’élection, cet événement peut m’apporter un plus dans mes études. Je veux monter une entreprise qui exporte des produits de Guadeloupe… Je ne voudrais pas tirer quelque chose en particulier, sinon le servir. Quand on arrive aux répétitions, Laura, la chorégraphe, annonce la couleur. Elle est exigeante avec nous, mais quand on voit le spectacle, on se dit que ça vaut le coup. Laura pense que nous avons toute le niveau, qu’on est toute capable d’être miss France. Donc, elle demande le max. L’expérience est satisfaisante et je profite de chaque instant même si parfois, il y a des petits coups de blues… Mais après, ça fait envie ! Quoiqu’il arrive, je ne serai pas déçue. »
« Nous sommes en pleine préparation. Ca a commencé depuis le 26 novembre. C’est très intense avec les chorégraphies, mais je tiens le coup. On a quitté une ambiance un peu idyllique à Saint-Domingue… Entre les filles, on s’entend bien. Je suis souvent avec miss Flandres et miss Franche-comté qui est ma colocataire. Pour la prépa, il suffit de bien écouter et de s’accrocher. J’ai dansé aux Abymes… L’effort d’apprentissage, je connais. Tout est possible. Je fais de mon mieux car tout le monde peut y arriver. C’est le jury qui décidera. Moi, je ferai du mieux que je peux pour monter à ma place ! Même si le but premier, c’est l’élection, cet événement peut m’apporter un plus dans mes études. Je veux monter une entreprise qui exporte des produits de Guadeloupe… Je ne voudrais pas tirer quelque chose en particulier, sinon le servir. Quand on arrive aux répétitions, Laura, la chorégraphe, annonce la couleur. Elle est exigeante avec nous, mais quand on voit le spectacle, on se dit que ça vaut le coup. Laura pense que nous avons toute le niveau, qu’on est toute capable d’être miss France. Donc, elle demande le max. L’expérience est satisfaisante et je profite de chaque instant même si parfois, il y a des petits coups de blues… Mais après, ça fait envie ! Quoiqu’il arrive, je ne serai pas déçue. »
Mandy Nicolas, la candidate guyanaise au titre de miss France a 18 ans et prépare un bac S au lycée Gaston-Monnerville de Kourou.
« Il fait un eu froid et on répète du matin au soir ! Ca se passe bien, mais non stop, pour apprendre les chorégraphies. Laura, la chorégraphe, est exigeante mais elle est sympa. Elle nous booste pour que l’on fasse de notre mieux. Les choses se corsent ! Je m’entends bien avec miss Ile-de-France. Entre nous toutes, il n’y a pas d’esprit de compétition. De mon côté, je reste simple et je m’entends bien avec tout le monde. C’est une aventure ! J’ai découvert Saint-Domingue avec son sable blanc et sa mer bleue, des endroits paradisiaques ! C’était un rêve. A Paris, on a été très bien accueillie, on a mangé tous les jours sur les Champs-Elysées, on est allées à Disney… Une aventure inoubliable et une rencontre avec le public. Dunkerque me plaît. Je ne connaissais pas le Nord, c’est au bord de la mer… On attend quelque chose en retour d’une telle destinée. On se redécouvre en voyant de nouvelles choses. Mais là, je me mets dans le bain, hors du train-train. On enchaîne interviewes, répétitions et on est accueillies comme des stars ! Les répètes sont dures. Tous les jours on doit connaître la chorégraphie par chœur. On l’apprend en boucle et ça reste dans la tête ! Même à l’hôtel, je ne cesse de les réviser.. Mais c’est le travail et le jour J, on donnera un beau spectacle même s’il n’y a qu’une gagnante. Beaucoup de proches vont me voir, je vais tout donner pour eux. Si je suis élue, je ferais mon année de miss, puis je reprendrais mes études. Je veux entrer en médecine puis devenir chirurgien dentaire. »
« Il fait un eu froid et on répète du matin au soir ! Ca se passe bien, mais non stop, pour apprendre les chorégraphies. Laura, la chorégraphe, est exigeante mais elle est sympa. Elle nous booste pour que l’on fasse de notre mieux. Les choses se corsent ! Je m’entends bien avec miss Ile-de-France. Entre nous toutes, il n’y a pas d’esprit de compétition. De mon côté, je reste simple et je m’entends bien avec tout le monde. C’est une aventure ! J’ai découvert Saint-Domingue avec son sable blanc et sa mer bleue, des endroits paradisiaques ! C’était un rêve. A Paris, on a été très bien accueillie, on a mangé tous les jours sur les Champs-Elysées, on est allées à Disney… Une aventure inoubliable et une rencontre avec le public. Dunkerque me plaît. Je ne connaissais pas le Nord, c’est au bord de la mer… On attend quelque chose en retour d’une telle destinée. On se redécouvre en voyant de nouvelles choses. Mais là, je me mets dans le bain, hors du train-train. On enchaîne interviewes, répétitions et on est accueillies comme des stars ! Les répètes sont dures. Tous les jours on doit connaître la chorégraphie par chœur. On l’apprend en boucle et ça reste dans la tête ! Même à l’hôtel, je ne cesse de les réviser.. Mais c’est le travail et le jour J, on donnera un beau spectacle même s’il n’y a qu’une gagnante. Beaucoup de proches vont me voir, je vais tout donner pour eux. Si je suis élue, je ferais mon année de miss, puis je reprendrais mes études. Je veux entrer en médecine puis devenir chirurgien dentaire. »