Jégo revoit la loi
Nouvelle copie pour la LOPOM
Les collectivités l’ont reçue vendredi dernier, les parlementaires, mardi. Yves Jégo a pondu une nouvelle mouture de la loi de programme qui, selon le député martiniquais Almont (UMP), ne présente pas grand chose de nouveau, si ce n’est la prise en compte des avis du Conseil économique et social. Selon le député, Yves Jégo parle de la loi comme d’ « une étape de la loi Girardin ». L’étape, ce seraient les 100 millions supplémentaires inscrits par Bercy. « L’objet est de s’y tenir. Tout est une question de réglage de curseur… », commente Alfred Almont. Mais s’il reprend ainsi le vocabulaire des facteurs de la loi en parlant de curseur, il se montre réservé sur le volet logement social de la loi : « On observe une réduction du programme de l’engagement de l’Etat. Or, ça doit rester une compétence de l’Etat et l’Etat doit traduire son engagement à travers la ligne budgétaire unique qu’il faut maintenir à la hauteur des besoins. » La loi qui devrait être adoptée par le Parlement à l’automne, pourrait connaître de nouveaux retards, en raison principalement du calendrier chargé de l’Assemblée nationale.
Les collectivités l’ont reçue vendredi dernier, les parlementaires, mardi. Yves Jégo a pondu une nouvelle mouture de la loi de programme qui, selon le député martiniquais Almont (UMP), ne présente pas grand chose de nouveau, si ce n’est la prise en compte des avis du Conseil économique et social. Selon le député, Yves Jégo parle de la loi comme d’ « une étape de la loi Girardin ». L’étape, ce seraient les 100 millions supplémentaires inscrits par Bercy. « L’objet est de s’y tenir. Tout est une question de réglage de curseur… », commente Alfred Almont. Mais s’il reprend ainsi le vocabulaire des facteurs de la loi en parlant de curseur, il se montre réservé sur le volet logement social de la loi : « On observe une réduction du programme de l’engagement de l’Etat. Or, ça doit rester une compétence de l’Etat et l’Etat doit traduire son engagement à travers la ligne budgétaire unique qu’il faut maintenir à la hauteur des besoins. » La loi qui devrait être adoptée par le Parlement à l’automne, pourrait connaître de nouveaux retards, en raison principalement du calendrier chargé de l’Assemblée nationale.