Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Archives

Publié par fxg

Olivier Biancarelli : « Le président aurait aimé parler de la Guadeloupe »
Le conseiller Outre-mer du président de la République, Olivier Biancarelli, a indiqué à France-Antilles, hier soir, qu’à la sortie du plateau de l’émission Face à la crise, Nicolas Sarkozy lui avait dit : « Je n’ai pas pu parler de la Guadeloupe… » « Il était embêté, poursuit le conseiller. Il aurait aimé parler des Antilles, c’est-à-dire qu’il avait préparé… Il suit tous les jours la situation. Mais il n’y a pas eu de questions des journalistes… C’est difficile d’en parler ex abrupto. » Il fallait convier RFO !
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
L
pffff !!!il faut arrêter de prendre les gens pour des cons !!!! c'est M. Sarkozy qui menait clairement le débat donc il n'avait pas besoin que les journalistes introduisent le sujet. ça l'intéresse peu, voilà ce qu'il en ait... tant que cela ne bloque pas les parisiens d'aller travailler... la grève de 24h de la RATP l'a plus révolté que cette grève qui dure depuis 3 semaines!!!!
Répondre
R
J'ai vraiment du mal à croire que Sarko n'a pas osé en parler "ex abrupto". Serait il soudainement devenu respectueux des journalistes? Non. Connaissant l'attente des Antillais il ne pouvait se permettre de faire l'impasse sur le sujet. Il a merdé. C'est tout. Inutile de faire porter le chapeau aux journalistes. Nou ja konnet'... yo pa guè fo. Et puis on n'a pas voté pour les journalistes pour qu'ils nous réprésentent. Envoyer Biancarelli parler à France Antilles pour faire bonne figure n'est qu'une insulte de plus.
Répondre
N
Otez moi d'un doute, Ce Monsieur Biancarelli, n'était il pas celui que l'on voit dans le reportage, diffusé sur Canal  sur les békés, boire les paroles  de De Lucy et de Bally, en ajoutant que les infos de ces deux derniers sont toujours sures, fondées et crédibles???
Répondre
P
J'ai été très surprise que la situation de crise actuelle aux Antilles n'ai pas été abordée. Si Audrey PULVAR était conviée, c'est sûre qu'elle aurait en parler. Après on accuse les journalistes antillais de communautarisme mais ce sont les seules à s' y interesser.
Répondre